Water belongs to the night présente la facette la plus sombre de l’univers musical de Lunt. Après les albums Broken words and lostanswers et fragments of free, c’est son album le plus abouti, basé sur des loops, drones et glitches, le tout uniquement composé à la guitare électrique, sans laptop, avec comme seule guide l’improvisation. Première référence physique de la collection de musique expérimentale qu’il initia en 2011 : The Tremens Archives
Après son album Switch the letters salué par la critique pour son songwriting ciselé et délicat, Lunt revient avec un album à l’opposé, à savoir composé de son travail expérimental. Water belongs to the night présente la facette la plus sombre de son univers musical. Après les albums Broken words and lostanswers et fragments of free, c’est son album le plus abouti, basé sur des loops, drones et glitches, le tout uniquement composé à la guitare électrique, sans laptop, avec comme seule guide l’improvisation. L’atmosphère pourra rappeler parfois celle des travaux de Fred Frith, des travaux solo instrumentaux de Lee Ranaldo, ou le raffinement des débuts de Rafael Toral (Wave Field, Violence of discovery calm of acceptance). Ce disque est également la première référence pressée au format CD de la collection de musique expérimentale The Tremens Archives initiée par Lunt en 2011, et contient à l’intérieur du doublesleeve toutes les informations sur celle-ci, notamment sur son éthique de recherche musicale.